Conformément aux directives de la CNIL, pour poursuivre votre navigation dans de bonnes conditions vous devez accepter l'utilisation de Cookies sur notre site.
Aucun produit
Les prix sont TTC
La peinture de Guillaume MARCHAT, à l’instar de sa vie – il est aussi dirigeant d’entreprise et père de 3 enfants – déborde de détermination et de mouvement comme on peut le constater à travers sa série « Hommes qui Marchent ».
L’énergie qui se dégage de ses toiles traduit la spontanéité et la fougue qui le caractérisent.
C’est l’harmonie des couleurs qui domine la peinture de Guillaume MARCHAT, qui se veut également très décorative.
Originaire de Villeneuve-les-Avignon et ayant étudié la finance à PARIS, Guillaume MARCHAT est passionné de physique quantique :
« Tout est onde, qui se transforme en matière au moment de l’observation. C’est l'observation des choses et des êtres qui nous entourent qui leur donne leur réalité matérielle. De là à penser que nous avons chacun notre propre monde, que la réalité est subjective, il n'y a qu'un pas."
Sa série « Têtes » et « Hommes qui Marchent », cherche à saisir l’instant de cette transformation.
Utilisant divers supports comme les papiers-journaux usagés, les vieux catalogues de la FIAC ou des palettes de matériaux, il n’hésite pas parfois à détourner le vernis à ongles de ses filles pour donner à ses œuvres un effet plus réaliste.
Née à Marseille où elle vit et travaille, Vanessa Kammermann a toujours profité de sa région qui offre tant de possibilités et de contrastes en termes d’images : les ports, les calanques, les quartiers, les couleurs, la lumière, le mistral, … Depuis toujours, liée affectivement à des coins qu’elle préfère tenir secrets, quelque part dans le Var et en Camargue, elle s’intéresse aux grands espaces du littoral méditerranéen et, depuis une dizaine d’années, en montagne. En quête d’harmonie dans le cadrage : lignes, symétries, couleurs, ambiances, ... avec une orientation spontanée vers la gaité et la légèreté dans des scènes parfois très aérées. Cette contemplation passe le plus souvent par la valorisation de détails avec une forte utilisation du téléobjectif : des machines, des engins de chantiers, des bateaux, des cordages, des murs, … quitte à parfois « écraser » ses sujets et accentuer exagérément le cadre d’origine. Elle révèle la beauté graphique que l’on peut trouver sur un site industriel, dans un port de commerce ou devant un remonte-pente ! ses grues et ses télécabines en apparence « objets » prennent des formes animales, donc vivantes. Les rares personnages qui s’invitent dans ses photos sont toujours là par hasard, jamais posés ; de minuscules silhouettes qui animent des scènes de vies et deviennent sujet principal. Un moteur qui l’entraine sur les routes goudronnées ou enneigées, en mer ou dans les vignes, très loin ou en bas de chez elle, … peu importe, elle marche, skie et navigue pour voir des photos. C’est le plaisir de la perception, l’excitation de se trouver dans un environnement spécial à un moment donné qui va passer ; Retourner au même endroit et voir d’autres photos. Mettre en images est instinctif, avec ou sans appareil je suis toujours train de cadrer, décentrer, de bouger pour voir, … En apparence mes images ne sont pas engagées… Mais honnêtement je pense qu’elles sont un moyen d’aimer, d’apaiser, un combat discret et pacifiste pour embellir les choses ou les rendre légères, un rempart pour tenir à distance la bêtise et la médiocrité.